Auteur/autrice : CGT Éduc'action Picardie (Page 1 sur 2)

Jus­qu’au retrait de la réforme, toutes et tous en grève !

Mépris, men­songes, égo­cen­trisme et mau­vaise foi …
📺📺 Bilan de l’in­ter­ven­tion télé­vi­sée d’un per­son­nage qui n’a rien à perdre faute de pou­voir se représenter …
✊✊ A nous, avec la CGT Éduc’ac­tion, de mon­trer notre déter­mi­na­tion à gagner mais aus­si à mon­trer notre pleine et entière légitimité !
LES MOBILISATIONS EN PICARDIE POUR CE JEUDI 23/03/2023
Dans la Somme
Abbe­ville 10h bou­le­vard Vauban
Amiens dès 4h, ZI et à 14h mai­son de la culture
Fri­ville-Escar­bo­tin 16h Châ­teau d’eau
Albert, Bar­rages fil­trants à par­tir de 4h30, rond-point ZAC du pays du coque­li­cot (A380) et de la zone Potez (route de Bapaume ) et manif à 10h devant la mairie
Dans l’Oise
De 7h a 12 h au rond point du péage de Lon­gueuil sainte Marie
Com­piègne : 8h30 a l’imp la fai­san­de­rie, mani­fes­ta­tion à 14h30 cours Guynemer
Pont sainte Maxence 9h à la manekine
Cler­mont 10h au par­king du chi
Saint Maxi­min 10h zone com­mer­ciale ave­nue de la paix
Beau­vais 14h à la préfecture
Dans l’Aisne
Sois­sons, à par­tir de 7h au Rond Point de l’Ar­cher et de Villeneuve
Châ­teau-Thier­ry, à par­tir de 7h, occu­pa­tion zone de Leclerc ( par­king ancien Intermarché )
Hir­son, rdv 14h devant la mai­son des tra­vailleurs, 8 rue de Dinant, puis manif en direc­tion du rond-point de Charleville
Laon, à par­tir de 6h, occu­pa­tion et fil­trage du rond-point de l’au­to­route. A 10h, manif au départ du centre com­mer­cial Leclerc en direc­tion du rond-point de l’autoroute.
Saint-Quen­tin, de 7h à 13h, occu­pa­tion des ronds-points d’Au­chan Fayet ( sur la D1029 ) et de Moto­bé­cane ( sur la D300 à Rou­vroy ) A 15h, manif au départ de la place du 8 octobre.

Der­nières annonces de Pap N’Diaye pour les col­lèges. De la pure « com » et aucune pers­pec­tive réaliste

À la ren­trée, le ministre qua­li­fiait le col­lège « d’homme malade du sys­tème éducatif ».

Après n’avoir rien pro­po­sé sur cette ques­tion pen­dant des mois, voi­là que lors de ses vœux, Pap N’Diaye avance deux pro­po­si­tions qui sentent bon le réchauf­fé… Pire, elles ne résou­dront en rien les pro­blèmes de fond et ne feront qu’accroître les dif­fi­cul­tés orga­ni­sa­tion­nelles pour les per­son­nels tout en étant des mesures cos­mé­tiques pour les élèves : plus de Devoirs faits et des professeur·es des écoles au collège…

Concer­nant l’encadrement d’un sou­tien en fran­çais et mathé­ma­tiques par des professeur·es des écoles, cela est une mau­vaise réponse à la bonne ques­tion de la liai­son pri­maire-secon­daire. Le ministre démontre qu’il n’a guère de logique péda­go­gique et que la réa­li­té pra­tique lui échappe éga­le­ment : le nombre d’enseignant·es néces­saire, la dis­tance école-col­lège (frais de dépla­ce­ment ? ordre de mis­sion ?) par exemple. La géné­ra­li­sa­tion de cette mesure expé­ri­men­tée dans l’académie d’Amiens (non éva­luée et aux limites sou­li­gnées par les per­son­nels concer­nés…) peut res­sem­bler à une puni­tion pour des per­son­nels du pre­mier degré qui n’auraient pas rem­pli cor­rec­te­ment leurs mis­sions les années pré­cé­dentes et dont les élèves seraient en échec… C’est aus­si une curieuse méthode pour l’administration de répondre aux justes reven­di­ca­tions sala­riales des professeur·es des écoles en créant un vivier d’heures sup­plé­men­taires au détri­ment d’augmentations indiciaires.

La géné­ra­li­sa­tion du dis­po­si­tif Devoirs faits en 6ᵉ relève de l’effet d’annonce pour un dis­po­si­tif dont aucune éva­lua­tion sérieuse n’a été faite et dont les moyens dédiés res­tent insuf­fi­sants et hors temps de ser­vice. La CGT Éduc’action milite pour la fin des devoirs à la mai­son qui sont un fac­teur aggra­vant des inéga­li­tés sco­laires, liées aux inéga­li­tés socio­cul­tu­relles. En revanche, elle reven­dique la mise en place d’une heure par jour de soutien/aide/approfondissement pour tous les élèves avec des effec­tifs réduits (avec co-inter­ven­tion des enseignant·es sur leur temps de service).

La CGT Éduc’action reven­dique la baisse du nombre d’élèves par classe et exige du ministre qu’il aug­mente signi­fi­ca­ti­ve­ment les enseignant·es alors même que leurs salaires ont dévis­sé de plus de 20% depuis l’an 2000 et qu’il crée mas­si­ve­ment des postes d’enseignant·es titulaires.

Mon­treuil, le 06 jan­vier 2023

 

 

Bud­get et ren­trée 2023 : des éco­no­mies sur le dos des élèves et des personnels

  COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Le minis­tère vient de pré­sen­ter ce mar­di 14 décembre la pro­po­si­tion de répar­ti­tion 2023 des moyens de l’enseignement sco­laire. Cette répar­ti­tion concerne l’ensemble des per­son­nels, les répar­ti­tions aca­dé­miques de postes ou les « prio­ri­tés » ministérielles.

La CGT Éduc’action recon­nait que c’est auda­cieux de la part du minis­tère de pré­sen­ter un tel bud­get qui fait la part belle aux nom­breuses sup­pres­sions de postes d’enseignement (-1117 dans le 1er degré et ‑481 dans le 2nd degré) alors que les condi­tions d’encadrement des élèves depuis la ren­trée sont extrê­me­ment mau­vaises et qu’elles se sont à nou­veau dégra­dées ces der­nières semaines avec les dif­fé­rentes vagues épidémiques.

Alors que la situa­tion est déjà très com­pli­quée dans les écoles et les éta­blis­se­ments sco­laires (classes sur­char­gées, manque de per­son­nels, recours accru aux per­son­nels pré­caires, burn-out dans cer­tains ser­vices…), le nou­veau ministre ne rompt pas le rythme ins­tau­ré par son pré­dé­ces­seur. Ce bud­get et les choix poli­tiques faits vont de nou­veau dégra­der les condi­tions d’étude des élèves et de tra­vail des per­son­nels et ain­si accé­lé­rer le déman­tè­le­ment du Ser­vice public d’éducation.

Pour la CGT Éduc’action, la baisse démo­gra­phique (à nou­veau signa­lée par des études de la DEPP cette semaine) ne doit pas être l’occasion pour le minis­tère de sup­pri­mer à nou­veau des postes. Elle doit être au contraire l’occasion d’améliorer consi­dé­ra­ble­ment les condi­tions d’enseignement en amé­lio­rant les taux d’encadrement et en recons­ti­tuant un volant de postes de rem­pla­ce­ment consé­quents pour assu­rer les conti­nui­tés de ser­vice. Une nou­velle fois cette année, nous dénon­çons le tour de passe-passe du minis­tère concer­nant les per­son­nels sta­giaires afin de mino­rer les sup­pres­sions de postes. Nous conti­nuons de dénon­cer le pas­sage à plein temps de certain·es sta­giaires avec des réper­cus­sions tant sur le plan pro­fes­sion­nel que per­son­nel. Cette entrée dans le métier s’avère désas­treuse condui­sant, mal­heu­reu­se­ment, cer­tains ou cer­taines à la démission.

Quant aux moyens concer­nant les per­son­nels admi­nis­tra­tifs, rien de neuf non plus mal­heu­reu­se­ment. Aucune créa­tion nette de postes et un simple jeu de bon­ne­teau entre aca­dé­mies et ser­vices cen­traux… Comme si les ser­vices n’étaient pas assez pres­su­ri­sés… Alors que les 300 postes de CPE crées en 2022 ne suf­fisent pas amé­lio­rer la situa­tion dans les éta­blis­se­ments, le minis­tère réus­sit l’exploit de n’en pro­po­ser que 100 cette année. Et rien pour accom­pa­gner dura­ble­ment les élèves (infirmier·ères ou assistant·es sociaux·ales) qui ont des besoins accrus avec l’accélération de la crise sociale. Preuve que les choix bud­gé­taires priment sur les besoins du ter­rain. Inacceptable.

La CGT Éduc’action note cepen­dant la volon­té du minis­tère de sou­te­nir la Guyane et Mayotte. Alors qu’un véri­table plan Mar­shall est néces­saire pour aider ces ter­ri­toires, on ne nous pro­pose qu’une rus­tine… Inconséquent.

Dans ces condi­tions, notre orga­ni­sa­tion syn­di­cale n’a pas d’autre choix que de condam­ner ce bud­get et les choix réa­li­sés par le gou­ver­ne­ment et le minis­tère. Ces pro­po­si­tions sont la preuve du déni de leur part vis-à-vis de la réa­li­té vécue par les per­son­nels et les usa­ger-ères. Pire, puisqu’ils sont assu­més, ces choix portent la marque du mépris alors que les per­son­nels font tant d’efforts pour faire tour­ner la machine (crise sani­taire, crise cli­ma­tique, éner­gé­tique et économique).

Au final, le minis­tère comme le gou­ver­ne­ment n’ont tiré aucun ensei­gne­ment des der­nières années. Ils n’ont pas non plus enten­du les reven­di­ca­tions et le sens du vote des per­son­nels lors des der­nières élec­tions pro­fes­sion­nelles. Aucune créa­tion de poste ni titu­la­ri­sa­tion des contractuel·les, aucune créa­tion de sta­tut pour des per­son­nels indis­pen­sables (AESH ou AED…). Pire, ils péna­lisent cer­taines aca­dé­mies déjà en grandes dif­fi­cul­tés. En consé­quence, la CGT Éduc’action conti­nue d’exiger un plan d’urgence et appelle les per­son­nels à se mobi­li­ser rapi­de­ment pour gagner la bataille des moyens, des salaires et des retraites.

Mon­treuil, le 13 décembre 2022

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EMPLOIS, SALAIRES… Il y a URGENCE En grève le 29 sep­tembre 2022

EMPLOIS, SALAIRES… Il y a URGENCE

En grève le 29 sep­tembre 2022

Avec des années du gel de la valeur du point d’indice et dans le contexte infla­tion­niste actuel, les salaires dans la Fonc­tion publique sont dans un état désas­treux. On assiste ain­si à un appau­vris­se­ment et un déclas­se­ment des agents et agentes. L’augmentation de la valeur du point d’indice cet été ne résorbe même pas les pertes subies au regard de l’inflation 2022…

Dans ce contexte, reven­di­quer des hausses de salaires et amé­lio­rer concrè­te­ment la situa­tion des per­son­nels ne sont plus une néces­si­té mais une urgence.

Les ren­dez-vous picards

Aisne

Châ­teau-Thier­ry, 16h30 Place Paul Doumer

Laon, 10h00 DDFIP, 28 rue Saint Mar­tin avec petit déjeu­ner fra­ter­nel à par­tir de 07h30

Saint-Quen­tin, 15h00 manif départ place du 8 octobre

Sois­sons, 12h00 déjeu­ner soli­daire parc Saint Pierre et 14h00 départ manif

Oise

Beau­vais, 14h00 place Jeanne Hachette

Com­piègne, 10h00 cours Guynemer

Mon­ta­taire, 10h00 rue Amboise Croizat

Somme

Abbe­ville, manif 10h00 bou­le­vard Vauban

Amiens, 12h00 bar­be­cue reven­di­ca­tif, par­vis de la mai­son de la culture et 14h00 départ manif

 

Lire la suite sur le tract de la CGT Educ’action

Ren­trée 2022 : “abon­dance” de pro­messes et une libé­ra­li­sa­tion certaine

Affir­mer, comme l’a fait le minis­tère au début de l’été, qu’il y aura « un pro­fes­seur devant chaque classe à la ren­trée » relève au mieux d’un vœu pieu, au pire d’une chi­mère. Avec plus de 4 000 postes d’enseignant·es non pour­vus, dif­fi­cile pour le ministre Pap Ndiaye de jouer la carte de l’optimisme. Dans ces condi­tions, l’Éducation natio­nale va devoir recou­rir mas­si­ve­ment aux contractuel·les recruté·es au pied levé, avec une for­ma­tion expresse de 4 jours. Cette poli­tique de recours à des non-titu­laires non seule­ment ne règle aucu­ne­ment la ques­tion à long terme, du manque criant d’enseignant·es mais met aus­si ces per­son­nels en dif­fi­cul­té puisque rien n’est fait pour les pré­pa­rer à la prise en charge de classes et les for­mer à l’exercice du métier.

L’annonce par le ministre d’un concours excep­tion­nel pour les non-titu­laires en 2023 peut être posi­tive si les condi­tions d’accès et le nombre de places offertes per­mettent une réelle baisse de la pré­ca­ri­té au-delà de l’effet d’annonce. La CGT Éduc’action conti­nue d’exiger la titu­la­ri­sa­tion de l’ensemble des per­son­nels non-titu­laires sans condi­tion de concours ni de nationalité.
Plus per­sonne n’ose dire que la pro­fes­sion ensei­gnante est pri­vi­lé­giée. Pour­tant, les pro­po­si­tions qu’avancent le pré­sident de la Répu­blique et le ministre de l’Éducation doivent nous aler­ter, au lieu d’améliorer les condi­tions d’exercice du métier (réduc­tion des effec­tifs par classe, amé­lio­ra­tion de la for­ma­tion ini­tiale et conti­nue, inté­gra­tion de temps de concer­ta­tion dans le ser­vice, arrêt de la démul­ti­pli­ca­tion des missions…).

La ques­tion ne s’arrête pas aux per­son­nels ensei­gnants : la charge de tra­vail des per­son­nels admi­nis­tra­tifs s’accroît chaque année, les per­sonnes de san­té et sociaux manquent dans de nom­breux éta­blis­se­ments, les Aesh res­tent en nombre insuf­fi­sant et les PIALs demeurent un dis­po­si­tif pré­ca­ri­sant leur situa­tion et inopé­rant. Enfin, si un décret tar­dif a per­mis le CDI pour les AEd, nombre d’entre eux·elles n’ont pas pu en béné­fi­cier après leurs 6 ans de contrat.

L’annonce d’une aug­men­ta­tion sala­riale de l’ensemble des enseignant·es de 10% est posi­tive, mais il reste de nom­breuses ques­tions : quel calen­drier ? Sous quelle forme, indi­ciaire ou indem­ni­taire ? En plus des 3,5% d’augmentation de la valeur du point d’indice ou non ?

En revanche, la CGT Éduc’action s’oppose réso­lu­ment à la volon­té du pré­sident de faire tra­vailler plus pour gagner plus les enseignant·es pour l’autre par­tie de sa reva­lo­ri­sa­tion avec son fameux pacte comme elle s’opposera à sa volon­té de libé­ra­li­sa­tion et de mise en concur­rence géné­ra­li­sée de l’École au détri­ment des élèves et des personnels.

Pour la CGT Éduc’action, les per­son­nels ont besoin de meilleures condi­tions d’exercice de leurs métiers ain­si qu’une aug­men­ta­tion immé­diate de trai­te­ment de 400 euros de l’ensemble des per­son­nels du minis­tère, la réin­dexa­tion de la valeur du point sur l’inflation et le rat­tra­page des pertes subies depuis 10 ans, sans con-treparties !

Mon­treuil le 26 août 2022

Le com­mu­ni­qué en Pdf

Pour la paix et une solu­tion négo­ciée en Ukraine

A l’ap­pel du col­lec­tif natio­nal de marche pour la paix, des ras­sem­ble­ments sont pré­vus ce week-end.

 

Dans l’Oise :
  • Beau­vais : same­di 26 février, 11h00, Place Jeanne Hachette,
  • Creil : same­di 26 février, 11h00, angle de la Place Car­not, côté rond-point,
  • Mon­ta­taire : dimanche 27 février, 11h00, Place de la Mairie.

Dans la Somme

  • Amiens : same­di 26 février, 17h00, Place de l’Hô­tel de Ville.

La CGT s’est tou­jours oppo­sée aux guerres, par­ti­ci­pons aux rassemblements !

Aug­men­ter les salaires maintenant !

 

Per­sonne ne peut igno­rer le contexte social et éco­no­mique, les aug­men­ta­tions des pro­duits de pre­mière néces­si­té, de l’énergie comme de l’alimentation et, fina­le­ment, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, deman­deurs d’emploi et retraités.

Per­sonne n’ignore que seuls les salaires, les pen­sions et les aides et allo­ca­tions conti­nuent de stag­ner ou même de bais­ser au regard de l’inflation, de décro­cher par rap­port aux qua­li­fi­ca­tions, dans le pri­vé comme dans le public.

Si, dans cer­tains sec­teurs et entre­prises, des mobi­li­sa­tions et des négo­cia­tions ont per­mis d’obtenir des reva­lo­ri­sa­tions de salaires, trop sou­vent encore les négo­cia­tions sont au point mort ou les pro­po­si­tions des employeurs loin du compte.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satis­faire et n’entendent pas en res­ter là !

Sans aug­men­ta­tion du point d’indice et du Smic, il n’y aura aucune avan­cée pour les salarié.e.s dont les míni­ma de branche sont actuel­le­ment en des­sous du salaire de base minimum.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent, dans le même temps, que le gou­ver­ne­ment ait main­te­nu sa réforme de l’assurance chô­mage qui aura pour consé­quence d’enfermer de trop nom­breux sala­riés dans des emplois à faible salaire, à temps par­tiel ou en CDD.

Les retraité.e.s, très mas­si­ve­ment mobilisé.e.s, attendent tou­jours une réponse pour une aug­men­ta­tion immé­diate de leurs pen­sions, retraites de base et retraites com­plé­men­taires, dont la der­nière reva­lo­ri­sa­tion a été pla­fon­née à un niveau très infé­rieur à l’inflation.La jeu­nesse, confron­tée à une grande pré­ca­ri­té de vie et de tra­vail, à la pau­vre­té, accen­tuées par la crise sani­taire, éco­no­mique et sociale, doit obte­nir une réponse à l’encontre des réformes libé­rales de l’éducation, de la for­ma­tion, et de l’assurance chô­mage déci­dées par le gouvernement.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL sou­tiennent les actions et mobi­li­sa­tions orga­ni­sées dans les jours et semaines qui viennent pour exi­ger des aug­men­ta­tions de salaires et défendre les emplois et condi­tions de tra­vail et appellent à une mobi­li­sa­tion inter­pro­fes­sion­nelle sur les salaires et l’emploi le jeu­di 27 jan­vier 2022.

Il est urgent et indis­pen­sable d’agir toutes et tous ensemble, par la grève et les mani­fes­ta­tions, pour l’augmentation immé­diate de tous les salaires du pri­vé comme du public, des allo­ca­tions pour les jeunes en for­ma­tion et en recherche d’emploi, ain­si que d’améliorer les pen­sions des retraité.e.s.

 

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Thème original d' Anders Noren - modifié par J.-B. Barilla