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8 mars : grève féministe

Le 8 mars, la jour­née inter­na­tio­nale des droits des femmes sera une fois de plus l’occasion de des­cendre dans la rue pour mani­fes­ter en faveur de l’égalité pro­fes­sion­nelle et sala­riale entre les femmes et les hommes. Plu­sieurs ras­sem­ble­ments auront lieu.

Dans l’Oise :

  • Beau­vais : 15h40, Place Jeanne Hachette.

Dans la Somme :

  • Amiens : 12h30, ren­dez-vous Place du Don.

 


Pour la paix et une solu­tion négo­ciée en Ukraine

A l’ap­pel du col­lec­tif natio­nal de marche pour la paix, des ras­sem­ble­ments sont pré­vus ce week-end.

 

Dans l’Oise :
  • Beau­vais : same­di 26 février, 11h00, Place Jeanne Hachette,
  • Creil : same­di 26 février, 11h00, angle de la Place Car­not, côté rond-point,
  • Mon­ta­taire : dimanche 27 février, 11h00, Place de la Mairie.

Dans la Somme

  • Amiens : same­di 26 février, 17h00, Place de l’Hô­tel de Ville.

La CGT s’est tou­jours oppo­sée aux guerres, par­ti­ci­pons aux rassemblements !

Aug­men­ter les salaires maintenant !

 

Per­sonne ne peut igno­rer le contexte social et éco­no­mique, les aug­men­ta­tions des pro­duits de pre­mière néces­si­té, de l’énergie comme de l’alimentation et, fina­le­ment, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, deman­deurs d’emploi et retraités.

Per­sonne n’ignore que seuls les salaires, les pen­sions et les aides et allo­ca­tions conti­nuent de stag­ner ou même de bais­ser au regard de l’inflation, de décro­cher par rap­port aux qua­li­fi­ca­tions, dans le pri­vé comme dans le public.

Si, dans cer­tains sec­teurs et entre­prises, des mobi­li­sa­tions et des négo­cia­tions ont per­mis d’obtenir des reva­lo­ri­sa­tions de salaires, trop sou­vent encore les négo­cia­tions sont au point mort ou les pro­po­si­tions des employeurs loin du compte.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satis­faire et n’entendent pas en res­ter là !

Sans aug­men­ta­tion du point d’indice et du Smic, il n’y aura aucune avan­cée pour les salarié.e.s dont les míni­ma de branche sont actuel­le­ment en des­sous du salaire de base minimum.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent, dans le même temps, que le gou­ver­ne­ment ait main­te­nu sa réforme de l’assurance chô­mage qui aura pour consé­quence d’enfermer de trop nom­breux sala­riés dans des emplois à faible salaire, à temps par­tiel ou en CDD.

Les retraité.e.s, très mas­si­ve­ment mobilisé.e.s, attendent tou­jours une réponse pour une aug­men­ta­tion immé­diate de leurs pen­sions, retraites de base et retraites com­plé­men­taires, dont la der­nière reva­lo­ri­sa­tion a été pla­fon­née à un niveau très infé­rieur à l’inflation.La jeu­nesse, confron­tée à une grande pré­ca­ri­té de vie et de tra­vail, à la pau­vre­té, accen­tuées par la crise sani­taire, éco­no­mique et sociale, doit obte­nir une réponse à l’encontre des réformes libé­rales de l’éducation, de la for­ma­tion, et de l’assurance chô­mage déci­dées par le gouvernement.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL sou­tiennent les actions et mobi­li­sa­tions orga­ni­sées dans les jours et semaines qui viennent pour exi­ger des aug­men­ta­tions de salaires et défendre les emplois et condi­tions de tra­vail et appellent à une mobi­li­sa­tion inter­pro­fes­sion­nelle sur les salaires et l’emploi le jeu­di 27 jan­vier 2022.

Il est urgent et indis­pen­sable d’agir toutes et tous ensemble, par la grève et les mani­fes­ta­tions, pour l’augmentation immé­diate de tous les salaires du pri­vé comme du public, des allo­ca­tions pour les jeunes en for­ma­tion et en recherche d’emploi, ain­si que d’améliorer les pen­sions des retraité.e.s.

 

Visuel salaires

Mobi­li­sa­tions du jeu­di 20 jan­vier et du same­di 22 janvier

La CGT Éduc’action appelle l’ensemble des per­son­nels à dif­fé­rentes mobi­li­sa­tions après la forte mobi­li­sa­tion du jeu­di 13 janvier.

 

Jeu­di 20 janvier
Cette mobi­li­sa­tion est à l’initiative de l’intersyndicale des per­son­nels de l’É­du­ca­tion natio­nale et porte comme reven­di­ca­tions la mise en place de mesures et l’octroi de maté­riels ren­dus indis­pen­sables par la dégra­da­tion de la situa­tion sanitaire.

dans l’Oise :

  • Beau­vais :
    – 9h00-11h30, assem­blée géné­rale des per­son­nels, à la salle des fêtes de l’espace Argen­tine (11 Rue du Morvan) ;
    – 12h15, ras­sem­ble­ment devant la DSDEN (22 Ave­nue Vic­tor Hugo) ;
    – 13h30-14h30, audience auprès de l’IA-DASEN ;
    – 14h30, mani­fes­ta­tion de la DSDEN à la mai­rie de Beauvais.

dans la Somme :

  • Amiens :
    – 12h30, ras­sem­ble­ment devant le rec­to­rat (20 Bou­le­vard d’Alsace-Loraine) ;
    – 17h00, assem­blée des per­son­nels, au local de Sud Édu­ca­tion 80 (3–5 Rue Jean Godris).

 

Same­di 22 janvier

dans l’Aisne :

  • Laon : 14h00, ras­sem­ble­ment devant la DSDEN (Cité administrative).

Salaires : le 27 jan­vier, l’heure est désor­mais à la mobi­li­sa­tion de toutes et tous !

Per­sonne ne peut igno­rer le contexte social et éco­no­mique, les aug­men­ta­tions des pro­duits de pre­mière néces­si­té, de l’énergie comme de l’alimentation et, fina­le­ment, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, deman­deurs d’emploi et retraités.

Per­sonne n’ignore que seuls les salaires, les pen­sions et les aides et allo­ca­tions conti­nuent de stag­ner ou même de bais­ser au regard de l’inflation, de décro­cher par rap­port aux qua­li­fi­ca­tions, dans le pri­vé comme dans le public.

Si, dans cer­tains sec­teurs et entre­prises, des mobi­li­sa­tions et des négo­cia­tions ont per­mis d’obtenir des reva­lo­ri­sa­tions de salaires, trop sou­vent encore les négo­cia­tions sont au point mort ou les pro­po­si­tions des employeurs loin du compte.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satis­faire et n’entendent pas en res­ter là !

Sans aug­men­ta­tion du point d’indice et du Smic, il n’y aura aucune avan­cée pour les salarié.e.s dont les míni­ma de branche sont actuel­le­ment en des­sous du salaire de base minimum.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent, dans le même temps, que le gou­ver­ne­ment ait main­te­nu sa réforme de l’assurance chô­mage qui aura pour consé­quence d’enfermer de trop nom­breux sala­riés dans des emplois à faible salaire, à temps par­tiel ou en CDD.

Les retraité.e.s, très mas­si­ve­ment mobilisé.e.s, attendent tou­jours une réponse pour une aug­men­ta­tion immé­diate de leur pen­sion, retraite de base et retraite com­plé­men­taire, dont la der­nière reva­lo­ri­sa­tion a été pla­fon­née à un niveau très infé­rieur à l’inflation.

La jeu­nesse, confron­tée à une grande pré­ca­ri­té de vie et de tra­vail, à la pau­vre­té, accen­tuées par la crise sani­taire, éco­no­mique et sociale, doit obte­nir une réponse à l’encontre des réformes libé­rales, de l’éducation, de la for­ma­tion, de l’assurance chô­mage, déci­dées par le gouvernement.

Les orga­ni­sa­tions CGT, FO, FSU, Soli­daires, Fidl, MNL, Unef et UNL sou­tiennent les actions et mobi­li­sa­tions orga­ni­sées dans les jours et semaines qui viennent pour exi­ger des aug­men­ta­tions de salaires et défendre les emplois et condi­tions de tra­vail et appellent à une mobi­li­sa­tion inter­pro­fes­sion­nelle sur les salaires et l’emploi le jeu­di 27 jan­vier 2022.
Il est urgent et indis­pen­sable d’agir toutes et tous ensemble, par la grève et les mani­fes­ta­tions, pour l’augmentation immé­diate de tous les salaires du pri­vé comme du public, des allo­ca­tions pour les jeunes en for­ma­tion et en recherche d’emploi, ain­si que d’améliorer les pen­sions des retraité.e.s.

Mon­treuil, le 17 décembre 2021

Le com­mu­ni­qué de presse inter­syn­di­cal en PDF

Des per­son­nels épui­sés face à la ges­tion approxi­ma­tive de la crise sanitaire

Le pre­mier ministre a annon­cé ce lun­di 6 décembre une évo­lu­tion du pro­to­cole sani­taire dans les écoles et un pas­sage au niveau 3 de celui-ci entrai­nant un retour du masque en exté­rieur, une limi­ta­tion du bras­sage des élèves et des acti­vi­tés spor­tives. C’est donc la seconde fois en dix jours que le gou­ver­ne­ment change les règles sani­taires face à une reprise épi­dé­mique dans le pays. Si cette déci­sion ne change pas pro­fon­dé­ment les choses dans la lutte sani­taire, elle indique une nou­velle fois les tâton­ne­ments et les approxi­ma­tions dont font preuve le gou­ver­ne­ment et le minis­tère de l’Éducation nationale.

Pour l’heure, dans les écoles, on reste donc sur la règle du dépis­tage sys­té­ma­tique sans fer­me­ture sys­té­ma­tique des classes dès le pre­mier cas Covid ren­con­tré. Cette pro­cé­dure, exten­sion de l’expérimentation menée dans dix dépar­te­ments depuis quelques mois, n’a pas mon­tré son effi­ca­ci­té pour frei­ner la conta­mi­na­tion mais « amé­liore » seule­ment les chiffres de fer­me­tures de classes.

Si la CGT Éduc’action est favo­rable à des mesures per­met­tant de gar­der le plus pos­sible les classes ouvertes afin de main­te­nir le lien péda­go­gique, elle reste très dubi­ta­tive face à ce pro­to­cole qui ne pré­sente pas les meilleures garan­ties sur le plan sani­taire pour les élèves, les familles, mais aus­si les per­son­nels. Pire, cette pro­cé­dure a de nom­breux trous dans la raquette puisqu’elle ne prend pas en compte les cas avé­rés sur­ve­nus dans la sphère pri­vée ou extra­s­co­laire et qu’elle laisse les familles se débrouiller avec les tests alors que les labo­ra­toires sont actuel­le­ment débordés.

Elle génère sur­tout une nou­velle dégra­da­tion des condi­tions de tra­vail des per­son­nels ensei­gnants qui se voient dans l’obligation de jon­gler dans la mise en place du pro­to­cole et le main­tien des appren­tis­sages dans des bonnes condi­tions. Pour la CGT Éduc’action, il est inac­cep­table que les équipes édu­ca­tives gèrent seules l’ensemble du dis­po­si­tif qui sus­cite par­fois des ten­sions avec les familles et entraine imman­qua­ble­ment une sur­charge de tra­vail et un stress sup­plé­men­taire. Péda­go­gi­que­ment, elle est éga­le­ment très pro­blé­ma­tique et inéga­li­taire puisque les élèves reviennent au compte-goutte après les résul­tats de leur test. De plus, elle fait croire aux familles que les classes ne fer­me­ront plus (ce qui est faux) et que les per­son­nels pour­raient assu­rer un ensei­gne­ment mixte (distanciel/présentiel), ce qui est impos­sible et que nous refu­sons. Après 18 mois de ges­tion chao­tique de la crise sani­taire, les per­son­nels sont épui­sés de ces chan­ge­ments inces­sants et approxi­ma­tifs, mais aus­si de pal­lier l’inconséquence de l’institution.

La CGT Éduc’action consi­dère qu’il est urgent que le minis­tère de l’Éducation natio­nale entende ses reven­di­ca­tions et celles des per­son­nels pour tra­vailler serei­ne­ment dans les écoles et éta­blis­se­ments mais aus­si pour amé­lio­rer les condi­tions d’accueil et de tra­vail. Pour cela, il faut un plan d’urgence per­met­tant de recru­ter immé­dia­te­ment et mas­si­ve­ment des per­son­nels afin de géné­ra­li­ser les dédou­ble­ments ain­si que le rem­pla­ce­ment des per­son­nels absents pour évi­ter les bras­sages et amé­lio­rer le sui­vi de tous les élèves. Ces mesures concrètes seront indé­nia­ble­ment effi­caces à court et moyen termes pour le bien-être au tra­vail de tous les per­son­nels et l’enseignement dis­pen­sé aux élèves. Il y a donc urgence à agir.

Mon­treuil, le 7 décembre 2021

Lire le com­mu­ni­qué de presse.

Mani­fes­tons notre rejet du pro­jet local d’é­va­lua­tion en CA !

Le pro­jet d’évaluation, après « vali­da­tion par le conseil péda­go­gique » (alors que le code de l’Éducation, supé­rieur dans la hié­rar­chie des normes, pré­cise que le conseil péda­go­gique n’est que consul­ta­tif et « ne peut por­ter atteinte à [notre] liber­té péda­go­gique ». Art L912‑1–1 du code de l’Éducation), est ensuite « pré­sen­té en conseil d’administration ».

Le terme « pré­sen­té » entre­tient un flou : doit-il être voté pour pou­voir s’appliquer ? La ques­tion est d’importance car si le pro­jet d’évaluation est voté au CA, il pour­rait inté­grer le Pro­jet d’établissement et s’imposer aux enseignant∙es (Article L912‑1–1 du Code de l’Éducation). La contrainte serait la même si ce Pro­jet d’é­va­lua­tion condui­sait à inté­grer au règle­ment inté­rieur la ques­tion de l’évaluation des élèves.

Or, même sans vote, une fois acté en CA, le pro­jet d’évaluation s’appliquera aux per­son­nels et ira rejoindre le pro­jet d’établissement à plus ou moins brève échéance. Ain­si, ne pas voter le pro­jet ne pro­tège pas plus que le fait de le voter.
Tout l’enjeu est donc que le pro­jet qui arrive au CA soit le moins contrai­gnant pos­sible grâce à nos actions en amont. À défaut, nous inci­tons les per­son­nels à refu­ser ces mesures contrai­gnantes en CA. Et il est au moins néces­saire de dépo­ser une motion refu­sant de le cau­tion­ner, si pos­sible en y asso­ciant les parents d ‘élèves.

Ci-des­sous un exemple de motion.

 

 

   motion pro­jet éva­lua­tion UPSEN pdf

 

 

 

 

19 octobre : AESH en grève

La ren­trée est catas­tro­phique pour les AESH !
– géné­ra­li­sa­tion des PIAL avec une ges­tion déshu­ma­ni­sée de l’inclusion : chan­ge­ments d’af­fec­ta­tion ou d’emploi du temps arbi­traires et sou­dains, de plus en plus d’élèves/AESH, mul­ti­pli­ca­tion des éta­blis­se­ments d’intervention, non-res­pect du cadre des mis­sions, orga­ni­sa­tion du flou de la chaine hié­rar­chique sou­vent assor­ti de pres­sions, infor­ma­tions par­tielles ou fausses sur les ques­tions de droits des AESH ;
– grille indi­ciaire deve­nant caduque alors que la pré­cé­dente (2019) n’est tou­jours pas appli­quée dans beau­coup d’académies, et tou­jours pas de rat­tra­page indi­ciaire appli­cable au 1er septembre…

Pour les AESH, la CGT Éduc’ac­tion exige :
– l’abandon des PIAL ;
– un sta­tut de fonc­tion­naire caté­go­rie B ;
– un salaire temps plein équi­valent à 1,4 fois le SMIC dès 24h d’accompagnement, et l’arrêt du recours au multi-employeur ;
– la titu­la­ri­sa­tion immé­diate sans condi­tion de concours ni nationalité ;
– une for­ma­tion pro­fes­sion­nelle ini­tiale qua­li­fiante (INSPÉ) de 24 mois avant la prise de poste ;
– des affec­ta­tions sur deux éta­blis­se­ments ou écoles au maximum ;
– le res­pect strict des missions ;
– la créa­tion de bri­gades de rem­pla­ce­ment en cas d’AESH absent·e ;
– l’accès aux primes REP/ REP+ et à l’indemnité SEGPA / EREA / ULIS.

Toutes et tous les AESH en grève !!!

 

Les ras­sem­ble­ments et mani­fes­ta­tions en Picar­die pour le 19 octobre :

dans l’Aisne :

  • L’in­ter­syn­di­cale CGT, FO, SUD pro­pose de réunir les AESH qui le sou­haitent à la Mai­son des syn­di­cats (6 ave­nue Jean Jau­rès) à Laon mar­di 19 octobre 2021, vers 9h30 pour lis­ter les reven­di­ca­tions qui seront por­tées au DASEN.

dans l’Oise :

dans la Somme :

  • Abbe­ville, 12H15 devant le col­lège Millevoye,
  • Amiens, 12H15 devant l’é­cole Michel Ange,
  • Domart-en-Pon­thieu, 12H30 devant le collège,
  • Roye, 12h20 devant le collège.

Une mani­fes­ta­tion natio­nale est pré­vue à Paris, à 13h00, départ place Edmond Ros­tand, métro Luxembourg.

 

Lire le tract de la CGT Éduc’ac­tion.

Le 5 octobre, mobi­li­sé-es pour nos salaires, nos emplois et nos condi­tions de tra­vail et d’études !

Les orga­ni­sa­tions syn­di­cales CGT – FO – FSU – Soli­daires – FIDL – MNL – UNEF – UNL réunies le 30 août appellent à la mobi­li­sa­tion de l’ensemble des tra­vailleur-ses du sec­teur pri­vé et public, et la jeu­nesse, le mar­di 5 octobre 2021.
Lire l’appel inter­syn­di­cal du 30 août 2021 et le tract de la CGT EDUC’ACTION

 

Les ras­sem­ble­ments et mani­fes­ta­tions en Picar­die pour le 5 octobre :

dans l’Aisne :

  • Hir­son : 13h30, Mai­son des tra­vailleurs, rue de Dinant,
  • Laon : 10h, place des droits de l’Homme,
  • Sois­sons : 14h30, devant l’hôpital,
  • St Quen­tin : 15h, place du 8 Octobre.

dans l’Oise :

  • Beau­vais : 14h, place Jeanne Hachette,
  • Com­piègne : 10h, cours Guynemer.

dans la Somme :

  • Abbe­ville : 10h, bou­le­vard Vauban,
  • Amiens : 14h, par­vis de la MACU,
  • Fri­ville Escar­bo­tin : 14h, devant la per­ma­nence du dépu­té Emma­nuel Macquet.

 

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Thème original d' Anders Noren - modifié par J.-B. Barilla